Lettre à Augustin Varcollier, 20 mai 1840

  • Cote de la lettre ED-MD-1840-MAI-20-A
  • Auteur Eugène DELACROIX
  • Destinataire Michel-Augustin VARCOLLIER
  • Date 20 Mai 1840
  • Lieux de conservation Paris, musée Eugène Delacroix
  • Historique Acquise par la Société des Amis du musée Eugène Delacroix avec la participation de M. et Mme Thierry Bodin pour le musée Eugène Delacroix, en vente publique, Mayenne, étude Pascal Blouet, 2 octobre 2005, n°53.
  • Enveloppe Non
  • Nombre de pages écrites 3
  • Présence d’un croquis Non
  • Format in - 8°
  • Dimension en cm 21,6x34,2
  • Cachet de cire Oui
  • Nature du document Lettre Autographe Signée
  • Cote musée bibliothèque MD 2005-59
  • Données matérielles Pliée en cinq
  • Œuvre concernée Pietà, Paris, église Saint-Denys du Saint-Sacrement
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Transcription modernisée

Monsieur
Monsieur Varcollier
etc.
à l’Hôtel de ville

Monsieur,

M. Robert Fleury en vous priant de reprendre les travaux dont il était chargé pour la ville, a bien voulu vous demander que j’en fusse chargé à sa place. J’étais passé hier à la préfecture pour avoir l’honneur de vous voir et pour savoir de vous si vous ne trouvez pas ma demande indiscrète. Je quitte Paris demain pour quelques jours : ce qui fait que je ne solliciterai qu’à mon retour que vous vouliez bien disposer en ma faveur de quelques instants pour que j’aille vous faire cette demande et en causer avec vous.

Agréez en attendant, Monsieur, l’assurance de la plus haute considération.

Eug. Delacroix

Ce 20 mai 1840

Transcription originale

Page 1

[adresse : ] Monsieur
Monsieur Varcollier
etc...
à l’Hotel de Ville

[cachet de cire vert, empreinte illisible]

 

Page 2

Monsieur,

M. Robert Fleury en vous priant de
reprendre les travaux dont il était chargé pour
la ville, a bien voulu vous demander que j’en
fusse chargé à sa place. J’étais passé hier à
la prefecture pour avoir l’honneur de vous voir
et pour savoir de vous si vous ne trouvez pas
ma demande indiscrète. Je quitte Paris demain
pour quelques jours : ce qui fait que je ne
solliciterai qu’à mon retour que vous vouliez
bien disposer en ma faveur de quelques
instants pour que j’aille vous faire cette de
demande et en causer avec vous.

Agreez en

Page 3

attendant, Monsieur, l’assurance de
la plus haute considération.

Eug. Delacroix

 

Ce 20 mai 1840

 

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