Lettre à Pierre-Antoine Berryer, 17 mai 1855

  • Cote de la lettre ED-MD-1855-MAI-17-A
  • Auteur Eugène DELACROIX
  • Destinataire Pierre-Antoine BERRYER
  • Date 17 Mai 1855
  • Lieux de conservation Paris, musée Eugène Delacroix
  • Éditions précédentes -
    , inédite.
  • Historique Acquise par le service des bibliothèques et des archives des musées nationaux avec la participation de la Société des Amis d’Eugène Delacroix auprès de la librairie Les Autographes, février 1992.
  • Enveloppe Non
  • Nombre de pages écrites 1
  • Présence d’un croquis Non
  • Format in - 8°
  • Dimension en cm 20,8x27,2
  • Cachet de cire Non
  • Nature du document Lettre Autographe Signée
  • Cote musée bibliothèque LA 31631/28
  • Données matérielles pliée en 4
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Transcription modernisée

 

Ce 17 mai 1855

Mon cher cousin,

Je vous envoie deux stalles pour entendre dimanche l’orphéon : la solennité est je crois particulière et l’on m’a assuré que cela valait la peine de s’y transporter1. J’espère pouvoir aussi y aller de mon côté et je serais bien heureux de vous y apercevoir.

Mille amitiés et dévouement sincère.

Eug. Delacroix


1 L’orphéon est le nom donné aux sociétés chorales qui se multipliaient en France depuis les années 1830. Depuis 1852, l’orphéon de Paris était dirigé par Charles Gounod et connaissait un succès sans précédent. Chauqe année, au printemps, il y avait une manifestation solennelle organisée au cirque des Champs-Elysées ou au cirque d’Hiver en présence du préfet de la Seine.

 

 

Transcription originale

Page 1

 

Ce 17 mai 1855.

Mon cher cousin,

je vous envoie deux
stalles pour entendre dimanche
l’orpheon : la solennité est je crois parti-
-culiere et l’on m’a assure que cela
valait la peine de s’y transporter. J’es-
-pere pouvoir aussi y aller de mon
coté et je serais bien heureux de vous
y appercevoir.

mille amitiés et devouement
sincere.

Eug Delacroix

 

 

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